Brillant hommage d’un poète du dessin au blason le plus fameux de ces dames. Hommage à la Femme et aux femmes ; hommage à l’amour libre, à la volupté et aux plaisirs de la route.
Les sublimes noir blanc de Varenne gondolent entre érotique, ésotérique et pornographique. Même contraste dans les textes où une poésie fine et lettrée use sans complexe ni fausse pudeur du vocabulaire de la bagatelle.
Il est inutile d’en faire des tartines, je vous laisse découvrir et apprécier ce qui n’est vulgaire que pour les intégristes et les cons.
« On vous aura traitées de salopes ou de putes,
mais cette obscénité n’existe que dans les cerveaux fêlés
de ceux qui la découvrent et en accusent les autres.«