Commençons par préciser que ce roman – le premier de Brassens, je crois – était initialement intitulé Lali Kakamou. Vous ne vous plaindrez pas de ne pas avoir été prévenu…
Le texte est très court, complètement surréaliste. Onze chapitres, onze petites scènes illustrant la vie réelle et inavouée d’un petit quartier parisien (ou d’un immeuble ?).
Un Brassens potache, très différent du poète incarné dans ses chansons. Ça se lit tout seul, c’est agréable, drôle et déroutant.
Une curiosité charmante et surprenante !