Lectures mars
- Un rêve en Lotharingie – Jean-Claude Pirotte
- La littérature à l’estomac – Julien Gracq
- Le jour des magiciens : t1 Anja – Michelangelo La Neve & Marco Nizzoli
- Le jour des magiciens : t2 Drazen – Michelangelo La Neve & Marco Nizzoli
- Le jour des magiciens : t3 Lancaster – Michelangelo La Neve & Marco Nizzoli
- Le jour des magiciens : t4 Tanaka – Michelangelo La Neve & Marco Nizzoli
- Calvin & Hobbes : Que de misère humaine ! – Bill Watterson
- Saint-Germain-des-Prés – Jean-Paul Caracalla
- La Littérature sans estomac – Pierre Jourde
- Le Moyen-Âge en poésie de Rutebeuf à Villon – Textes choisis et présentés par Hélène Pageot & Jean-Pierre Foucher
- Les papillons – Umberto Parenti
- Louisiane – Maurice Denuzière
- Risquer c’est réussir ! – Jean Paulin
- La petite fille Bois-Caïman, Livres 1 & 2 – François Bourgeon
- Le livre de Christophe Colomb – Paul Claudel
Ab hinc… 119
« Il en va des librairies comme du whisky : ce sont des passions auxquelles il vaut mieux s’adonner seul. Pendant qu’on boit un single malt de quarante ans d’âge, ce serait dommage de se déconcentrer en bavardant avec quelqu’un ». – François Weyergans
Ab hinc… 118
« À force de tout voir l’on finit par tout supporter… À force de tout supporter l’on finit par tout tolérer… À force de tout tolérer l’on finit par tout accepter… À force de tout accepter l’on finit par tout approuver. » – Saint Augustin
Ab hinc… 117
« L’apologie de la santé est la seule pornographie d’aujourd’hui qui me paraisse absolument intolérable. » – Philippe Muray
Ab hinc… 116
« Il paraît que la Realpolitik est un crime. Si j’en crois l’opposition entre le Droit et la force, nous devrions remplacer la Realpolitik au bénéfice d’une vision juridique des rapports internationaux. Mais le Droit international ne fait que déplacer le problème, puisqu’il est, et restera, entre les mains des plus forts. Mieux vaut donc habituer les faibles à ne rien attendre du Droit international. Ce n’est pas protéger le plus faible que de le bercer de balivernes juridiques, c’est ajouter au plus fort le prestige d’une bonne conscience qu’il ne mérite pas. » – David di Nota
